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Grand Prix du Canada

Montréal - Conférence de presse

Dimanche 09 Juin 2002
21h35
M. Schumacher (Ferrari)
1 Michael Schumacher
(Ferrari F2002)
en 1h33'36"111
D. Coulthard (McLaren)
2 David Coulthard
(McLaren MP4/17-Mercedes)
à 0'01"132
R. Barrichello (Ferrari)
3 Rubens Barrichello
(Ferrari F2002)
à 0'07"082

L'interview des trois premiers de la course

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Question: Vous tourniez si vite que nous nous demandions si vous étiez dans une stratégie à deux ravitaillements. Vous n'avez jamais pu souffler dans cette course?
Michael Schumacher: Non, nous ne pouvions pas parce que la stratégie de Montoya était de deux arrêts. C'était très serré, et j'ai dû pousser avant qu'il ne s'arrête pour son second arrêt. Lorsque j'ai su qu'il était derrière moi j'ai pu contrôler l'écart.

Q: Ce fut une très bonne course, mais à quel points vos pneus étaient efficaces? Vous nous avez parlé aussi d'un très bon moteur...
MS: Ouais. Nous avions un 'package' très efficace. D'autre part, il était évident que nous avions quelques cloques, particulièrement sur notre pneu arrière gauche, ce qui nous a coûté à coup sûr un peu de performance mais il nous en restait assez pour gagner la course. Dans des circonstances normales, nous serions probablement premier et deuxième, mais nous sommes néanmoins assez contents du résultat.

Q: En débutant la course à la huitième place, je suppose que vous ne vous attendiez pas à être assis ici. Vous avez commencé en doublant deux voitures dans le premier virage, malgré une charge lourde en carburant. Parlez-nous de ces premiers quatre cents mètres.
David Coulthard: Nous savions depuis peu que notre système de départ automatique fonctionnait très bien et donc nous avions discuté avant la course s'il fallait partir avec beaucoup ou peu d'essence. Avec peu d'essence, j'aurais pu dépasser quelques concurrents dans le premier virage mais les ingénieurs m'ont dit que cela n'aurait pas beaucoup d'influence. Une fois de plus, comme à Monaco, leurs prédictions étaient exactes et j'ai gagné deux positions assez facilement.

Q: Parlez-nous du moment où vous avez rejoint Takuma Sato et que Rubens Barrichello en a profité pour essayer de vous doubler dans la dernière chicane.
DC: Oui, évidemment j'ai pensé que Sato allait me laisser passer à l'épingle mais il ne l'a pas fait, je suis donc sorti très lentement de là. Je savais que c'était très serré avec Rubens et il m'a donné son avis sur cela et je lui ai fait des excuses pour l'avoir bloqué. Je pensais que Sato me laisserait le passage à l'épingle du Casino mais au lieu de cela il m'a bloqué et j'ai perdu mon élan, ce qui a permis à Rubens de se porter à côté de moi en approchant de la chicane. J'ai freiné le plus tard possible, j'ai manqué la chicane et je me préparais à laisser la place à Rubens, mais il a fait la même erreur et donc je n'avais pas trouvé là un quelconque avantage.

Q: Quel est votre point de vue sur cet incident?
Rubens Barrichello: Il n'y a aucune raison d'en parler tout de suite. A cet endroit j'aurais pu freiner et prendre le virage, mais quand vous voyez que quelqu'un vous prend l'extérieur en allant vite vous ne pouvez pas laisser cela arriver, j'ai donc appuyé sur les freins. S'il y avait eu un mur là nous aurions tous les deux pris le virage.

Q: Vous avez perdu un peu de temps aux stands lorsque les mécaniciens ont retiré des graviers de vos pontons. Pensez-vous que là est la différence entre la troisième et la seconde place?
RB: Je savais que les deux arrêts pouvaient être risqués en cas de l'entrée possible de la voiture de sécurité. Elle a ruiné ma course et je ne vois pas pourquoi elle a été utilisée car il était impossible de heurter la BAR là où elle était arrêtée. Il ne me restait plus que 6 ou 7 tours après la sortie du Safety Car avant mon premier ravitaillement. Je ne vois aucune raison valable à la sortie de la voiture de sécurité.

Q: Michael, aujourd'hui, c'était la 150ème victoire et la 6ème de l'année pour Ferrari. La prochaine course est la première des deux manches qui se dérouleront dans votre pays. Quels sont vos espoirs?
MS: Nos espérances sont toujours très grandes avec la voiture dont nous disposons. Je profite de cette occasion pour remercier notre équipe d'essai. Ils restent toujours en arrière-plan et je suis très heureux que ces gens derrière nous travaillent si bien. Tous, tant Luca Badoer, Luciano Burti que tous les ingénieurs et les mécaniciens font un travail fantastique. J'ai pris quelques vacances et ils ont fait un travail remarquable. Nous attendons maintenant les essais que nous ferons cette semaine afin d'être bien préparés pour le Nürburgring.
source: DailyF1.com
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