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Grand Prix d'Australie

Melbourne - Conférence de presse

Dimanche 09 Mars 2003
06h35
D. Coulthard (McLaren)
1 David Coulthard
(McLaren MP4/17D-Mercedes)
en 1h34'42"124
J.P. Montoya (Williams)
2 Juan Pablo Montoya
(Williams FW25-BMW)
à 0'08"675
K. Räikkönen (McLaren)
3 Kimi Räikkönen
(McLaren MP4/17D-Mercedes)
à 0'09"192

L'interview des trois premiers de la course

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Question: Bien joué, mes félicitations. C'était grandiose. Est-ce qu'il y a une meilleure manière de débuter ce championnat?
David Coulthard: Certainement pas, surtout après la sombre journée que nous avons eue hier. C'est un grand résultat et je suis très content pour l'équipe qui sait que notre voiture ne peut pas rivaliser avec la Ferrari mais avec des courses comme celle-ci, la chance entre en jeu et le choix d'une bonne stratégie aussi. Nous pouvons donc être satisfaits.

Q: N'est-ce pas étonnant de gagner lorsqu'on est 11ème sur la grille de départ?
DC: En fait, je n'ai pas dépassé beaucoup de monde sur la piste mais nous pouvions le dissimulé car c'était des conditions difficiles. J'ai tout de suite pensé que j'avais pris la mauvaise décision au départ et je suis très vitre rentrer pour changer de pneus et ensuite la voiture de sécurité est entrée en piste ce qui était quelque chose de prévisible car cela est arrivé lors des quatre éditions précédentes de cette course. J'ai été surpris de devenir second mais pas d'hériter de la première place. Nous avons pris les bonnes décisions et si j'ai eu des difficultés lors des qualifications, je n'avais pas trop envie que cela se reproduise en course.

Q: Quelle était votre stratégie? Un seul ravitaillement?
DC: Je suis rentré deux fois et j'ai pris de l'essence à chaque fois.

Q: Mais à part cela, d'autres moments importants ou dramatiques?
DC: Il est difficile de se plaindre lorsque vous gagnez la course. Ce ne fut jamais facile avec ces conditions de piste mais je suis content d'être venu ici et de marquer 10 points. Je suis extrêmement heureux, bien sûr.

Q: Juan Pablo, comment cela s'est-il passé avec vos pneus pour piste sèche durant les premiers tours?
Juan Pablo Montoya: C'était assez intéressant. La voiture allait partout. En réalité il était très difficile de rester sur la piste. J'ai été très déçu que la seule erreur, je l'ai commise à seulement 10 tours de l'arrivée. Mais c'est la course et vous ne pouvez rien y faire. Sinon ma voiture était vraiment efficace. Elle était bien hier lors des qualifications et c'était encore bien aujourd'hui durant la course. J'avais un bon équilibre. La partie où cela allait le moins bien, c'est probablement entre la fin du premier secteur et le début du second, en dessous des arbres. Vous savez, en pneus pluie, vous sentez votre voiture glisser d'un endroit à l'autre. En fait, lors des premiers tours, je l'ai presque mise dans le mur.

Q: Etiez-vous sous pression à la fin de la course?
JPM: Oui, surtout de la part de Kimi. Vous savez, lors des tours précédents, j'étais capable d'augmenter mon rythme mais lorsque j'ai pris cette bordure, j'ai perdu mon contrôle de traction.

Q: Vous n'aviez plus du tout d'antipatinage?
JPM: Non. Il a fonctionné mais c'était trop tard à ce moment-là. J'ai accéléré probablement trop tôt, c'est de ma faute.

Q: Vous devez être assez frustré après avoir eu une telle avance?
JPM: Ouais. Ce fut un peu frustrant mais vous savez, c'est la même chose pour Kimi. Lui aussi aurait pu gagner la course. Lorsque vous savez que c'est votre course, vous pouvez y aller à fond, vous savez que vous pouvez faire des erreurs mais elles n'arriveront pas, c'est comme ça. Un autre jour vous pensez que vous n'êtes pas très compétitif. Regardez David. Il est entré aux stands au second tour et dans n'importe quelle course, lorsque vous faites cela, vous êtes complètement en dehors de l'affaire. Avant la sortie de la première voiture de sécurité, j'avais une assez bonne avance. Si la course avait continué comme ça, cela aurait été une histoire complètement différente, mais il n'y a pas de "si" en compétition automobile.

Q: Kimi, avez-vous vous aussi des raisons d'être frustré?
Kimi Räikkönen: Oui. Dans les 20 derniers tours, il m'a semblé que cela allait être difficile d'être premier après avoir fait une erreur, un excès de vitesse dans l'allée des stands. Je ne sais pas comment cela a pu m'arriver car j'avais enclenché le limiteur bien avant la ligne.

Q: Mais vous êtes troisième en partant 15ème sur la grille...
KR: En fait, je suis parti des stands car je suis rentré peu avant le départ pour mettre des slicks et mettre assez d'essence pour ne faire qu'un seul arrêt. Ensuite j'ai progressé dans la hiérarchie mais sans dépasser beaucoup de monde.

Q: Comment c'était les premiers tours?
KR: Pas trop mal en fait. Certains virages étaient glissants, le cinquième et le sixième par exemple, car le soleil ne perçait pas à travers les arbres. Le reste du circuit était bien.

Q: Et la pression de Michael?
KR: Ouais, un peu, mais il n'est jamais parvenu à me dépasser. Je n'ai pas gagné la course mais la victoire est pour notre équipe et c'est une bonne chose.
source: F1-Live.com
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