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Grand Prix de Chine

Tout savoir sur... la course


En bref

Troisième manche du Championnat du monde 2016 de F1. logo FIA F1WC
Dates: 15, 16 et 17 avril. Lieu: Circuit international de Shanghai.
Engagés: 22. Qualifiés: 22. Partants: 22. Classés: 22.
Conditions atmosphériques: ciel ensoleillé. 20°C dans l'air, 32°C sur la piste et 35% d'humidité.
Affluence: environ 140 000 spectateurs sur les trois jours.


Le Grand Prix

circuit Année de création du Grand Prix: 2004.
Editions disputées à ce jour: 12 (toujours sur le même circuit).
 
Fuseau horaire: GMT +8h (+6h de France, heure d'été).
Heure de départ: 14h, heure locale (08h, heure française).
Distance: 5,451 km x 56 tours, soit 305,066 km au total.
Décalage entre les lignes de départ et d'arrivée: -190 m.


Les records

Pole position

Meilleur tour

1'33"706 (moy. 209,417 km/h) par
Sebastian Vettel (Red Bull RB7-Renault) en 2011.
1'32"238 (moy. 212,750 km/h) par
Michael Schumacher (Ferrari F2004) en 2004.
 

Le podium 2015

P Pilote Châssis-Moteur Pneu Temps Moyenne
1 44. Lewis Hamilton Mercedes F1 W06 Pirelli 1h39'42"008 183,590 km/h
2 6. Nico Rosberg Mercedes F1 W06 Pirelli + 0'00"714 183,568 km/h
3 5. Sebastian Vettel Ferrari SF15-T Pirelli + 0'02"988 183,498 km/h


Les faits de course

Rosberg gagne et compte 36 pts d'avance sur Hamilton Un troisième succès d'affilée et désormais 36 points d'avance sur son principal rival dans la course au titre, Lewis Hamilton. La saison ne pouvait mieux démarrer pour Nico Rosberg qui a confirmé, à Shanghai, sa formidable série de six succès d'affilée à cheval sur les deux saisons, une performance que seulement trois autres pilotes (Sebastian Vettel, Michael Schumacher et Alberto Ascari) avant lui ont réussi à accomplir. Une victoire presque tranquille pour le pilote allemand qui, hormis un départ un peu poussif ayant permis à Daniel Ricciardo de prendre la tête de la course l'espace de quelques tours, a réalisé un impérial cavalier seul en Chine. Mais si la Red Bull de l'Australien aurait pu constituer un sérieux obstacle pour lui, Rosberg a eu le bonheur de la voir disparaître de son champ de vision en raison d'une crevaison, sans doute occasionnée par l'un des multiples débris se trouvant sur la piste, entraînant l'intervention de la voiture de la sécurité...

En effet, comme d'habitude avec sa longue ligne droite suivie d'un piégeux et interminable virage à droite, le départ du GP de Chine a causé pertes et fracas. Même si, de manière miraculeuse, aucun abandon n'allait être à déplorer lors du premier tour, ni par la suite, une grande première depuis le GP d'Europe en 2011. Principales victimes de cette mise en route animée, Sebastian Vettel, Kimi Räikkönen, Lewis Hamilton et Romain Grosjean. Bien que dans la même équipe chez Ferrari, les deux premiers se percutaient, Vettel venant harponner Räikkönen en raison de l'envol superbe d'un Daniil Kvyat sautant à l'intérieur avec un culot monstre. Une manœuvre osée qu'il assumait pleinement après la course, au moment de monter sur le deuxième podium de sa carrière (3ème): "Il fallait la tenter car c'est le genre de moment qui peuvent vous permettre de finir très haut. Il faut savoir prendre des risques."

Résultat, en tout cas, Räikkönen en était quitte pour un retour aux stands et les Ferrari se retrouvaient contraintes d'effectuer une course offensive. Qui s'achevait même sur une très belle deuxième place pour Vettel. Troisième victime collatérale du premier virage, Hamilton, parti depuis la dernière place, perdait aussi son aileron dans le chaos. Le début d'une longue course pour le Britannique, qui multipliait les arrêts sans jamais totalement parvenir à trouver le bon rythme ni la stratégie adéquate. Ainsi, après être remonté au 5ème rang, il reculait en fin de course derrière Räikkönen (5ème) et Felipe Massa (6ème). Une étape chinoise particulièrement difficile, donc, pour lui. Un constat valable également pour Romain Grosjean, 19ème seulement à l'arrivée et dont la colère et l'amertume était palpable dans le paddock. "Cet imbécile d'Ericsson m'est tombé dessus. A partir de là, ma course était ruinée. C'est le pire anniversaire que je pouvais avoir." Tout l'inverse d'un Rosberg rayonnant qui s'imposait avec plus de trente secondes d'avance. Un écart symbolique de sa domination actuelle en Formule 1.
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