En naviguant sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies pour vous proposer une navigation optimale et nous permettre de réaliser des statistiques de visites.

En savoir plus Accepter
Vous êtes dans: Accueil » Archives » Courses 2003 » Grand Prix de France » Conférence de presse

Grand Prix de France

Magny-Cours - Conférence de presse

Dimanche 06 Juillet 2003
16h35
R. Schumacher (Williams)
1 Ralf Schumacher
(Williams FW25-BMW)
en 1h30'49"213
J.P. Montoya (Williams)
2 Juan Pablo Montoya
(Williams FW25-BMW)
à 0'13"813
M. Schumacher (Ferrari)
3 Michael Schumacher
(Ferrari F2003-GA)
à 0'19"568

L'interview des trois premiers de la course

A-
A
A+
Question: Cela s'est bien passé pour vous ces huit derniers jours, n'est-ce pas Ralf?
Ralf Schumacher: Oui, c'est génial. Je n'arrive toujours pas à le croire. Gagner deux courses de suite c'est tout simplement génial et de plus je l'ai fait en partant de la pole position. Ce fut très serré avec Juan Pablo après que j'ai eu des soucis dans le trafic et à la suite de problèmes avec l'un de mes trains de pneus. Je suis rentré pour mon dernier ravitaillement un tour plus tôt et c'était le bon choix.

Q: Dès le premier tour, vous avez disparu...
RS: La voiture était géniale dès le départ. Au Nürburgring, j'ai eu des difficultés, j'ai dès lors cherché à ce que cela se passe mieux ici. Cela s'est bien passé au départ, après le premier ravitaillement et un peu moins après le second et c'est alors qu'il est revenu très près de moi.

Q: Vous avez eu un moment chaud à cinq tours de l'arrivée...
RS: Oui, j'ai été un peu large dans le virage 7 et je ne sais pas pourquoi. Peut-être que je pensais à quelque chose d'autre. En fait, j'ai freiné un peu trop tard, rien de spécial. C'est la seule fois que cela m'est arrivé lors de cette course mais mon équipe m'a demandé par radio si tout allait bien.

Q: Il semble que les retardataires ont joué leur rôle en course, n'est-ce pas?
RS: Oui, c'est toujours le même problème. Les drapeaux bleus sont sortis avec retard bien qu'ils essayent de faire de leur mieux. Certains commissaires sont plus rapides mais même comme ça, cela nous coûte du temps. C'est toujours le même problème et je comprends que pour les retardataires c'est difficile à comprendre mais cela nous coûte entre une demi-seconde et une seconde pleine à chaque tour. C'est toujours difficile lorsque vous menez la course car vous ne pouvez pas vraiment prendre des risques et de plus une partie du circuit était sous drapeau jaune car il y avait de l'huile sur la piste et j'ai perdu beaucoup de temps.

Q: Est-ce que l'huile sur la piste était inquiétante?
RS: L'huile, ce n'était pas un problème. Lorsque vous arrivez dans la zone, vous levez un peu le pied car vous n'avez pas trop envie d'être stupide en sortant sur l'huile. Lorsque vous êtes depuis sept ans en F1 et que vous faites surprendre par cela, je suppose que vous pourriez avoir l'air stupide.

Q: Juan Pablo, êtes-vous satisfait de cette seconde place?
Juan Pablo Montoya: Ben oui. C'était un peu difficile lors des premiers tours car je n'étais pas à l'aise avec la voiture. J'appelais les stands sans arrêt pour savoir ce que je pouvais faire pour améliorer le comportement de ma voiture. A la mi-course cela s'est amélioré et cela s'est bien passé ensuite jusqu'en fin de course. J'ai été le plus rapide dans chacun des trois secteurs et j'ai le meilleur tour en course. Lors du dernier ravitaillement, j'étais très près de Ralf mais pas assez.

Q: Comment étaient vos pneus en fin de course?
JPM: Bien. C'était parfait. Lorsque je suis arrivé tout près de Ralf, je savais qu'il n'y avait rien à faire. Le problème ici, c'est que vous ne pouvez pas vraiment dépasser quelqu'un. C'est un peu comme à Monaco. Il n'y a aucune possibilité de doubler un concurrent sur ce circuit.

Q: Vous avez perdu beaucoup de temps sur Michael à la fin. Etait-ce votre décision de lever ainsi le pied?
JPM: Oui. Il restait 10 tours et j'avais quelque chose comme 20 secondes d'avance. Je ne me suis donc pas fatigué.

Q: Michael, quelle est votre réaction à cela?
Michael Schumacher: On ne sait jamais ce qu'il peut arriver...

Q: Comment était la voiture aujourd'hui?
MS: Aussi efficace qu'elle pouvait l'être, vraiment. Pour nous, c'était au maximum. Nous avons eu des problèmes avec notre second train de pneus et à cause de cela, ce fut mon relais le plus lent. Ensuite, tout s'est bien passé.

Q: Etes-vous inquiet de la compétitivité actuelle des Williams-BMW? Deux doublés en deux courses...
MS: Cela ne peut que nous concerner. Nous constatons ce qu'ils font et nous sommes conscients de ce que nous faisons. Nous allons devoir nous mettre au travail pour améliorer notre situation.
source: F1-Live.com
.:: Vue du ciel ::.
>> Découvrez ce circuit sur des photos satellite!
globe terrestre • Vous disposez du logiciel Google Earth, cliquez ici.

• Sinon, vous pouvez utiliser Google Maps en cliquant ici.
.:: Jeu ::.
>> Le paddock perd la mémoire!
memory • Retrouvez toutes les associations nom + image en retournant les cartes deux par deux!
A vous de jouer...
.:: Publicité ::.